"Premier levé à La Faba, je quitte l'albergue pour aller au local troquet prendre un cafe solo, attaque la rude pente et me retourne une dernière fois vers l'est une fois la pente bue. Bon, là, j'en ai un paquet de photos parce que c'était une vraie splendeur. Le genêt frétillait, le galet brillait, l'herbacée perlait. Même le mollet commençait à chauffer..."   

 Philippe