Volver...
Par Itinérances le vendredi, 12 février 2010, - Dire - Lien permanent
Pero el viajero que huye
tarde o temprano detiene su andar...
Y aunque el olvido, que todo destruye,
haya matado mi vieja ilusión,
guardo escondida una esperanza humilde
que es toda la fortuna de mi corazón. ..
Mais le voyageur qui fuit
arrête finalement sa marche ...
Et bien que l'oubli, qui détruit tout,
ait tué ma vieille illusion,
Je garde cachée une humble espérance
qui est toute la fortune de mon cœur.
Commentaires
Très belle plume, j'aime beaucoup !
Me gustan mucho tus escritos, ya volvéré...
A+ JCP